Au coeur des années Reagan, Patrick Bateman est un pur produit de la réussite américaine. Jeune, riche, il est un de ces golden boys qui triomphent à la bourse. Seul le nec plus ultra est digne de lui et il s'emploie à ne retrouver que des symboles qui lui renvoient une image de succès. Il accumule, avec une obsession maladive, les vêtements selects, les relations enviables. Son voeu le plus cher est de se fondre dans cette foule, de trouver sa place au milieu de ceux auxquels il s'identifie.
Dans un avenir proche, une créatrice de génie, Allegra Geller, a inventé une nouvelle génération de jeu qui se connecte directement au systeme nerveux : eXistenZ. Lors de la séance de présentation du jeu, un fanatique cherche à la tuer. Un jeune stagiaire en marketing, Ted Pikul, sauve la vie d'Allegra. Une poursuite effrenée s'engage autant dans la réalité que dans l'univers trouble et mysterieux du jeu.
Ce devait être le hold-up parfait, le chef-d'oeuvre d'un génie du crime.Le décor : une grande banque de Manhattan. Les protagonistes : un commando masqué, cagoulé, lunetté et des dizaines d'otages affolés, contraints de revêtir la même combinaison passe-partout que les braqueurs.L'enjeu : la salle des coffres et ses trésors ? Ou un vieux secret dont seuls deux personnes connaissent l'importance.Aujourd'hui, confiné dans une cellule, le cerveau de la bande s'explique. Mais attention, chaque mot compte, et aucun indice ne vous sera livré au hasard. Prêts ?Ce matin-là, donc, quatre peintres en batiment franchissaient le seuil de la Manhattan Trust Bank...
Septembre 1967: Chris Taylor, dix-neuf ans, rejoint la compagnie Bravo du 25ème régiment d'infanterie, près de la frontière cambodgienne. Chris, issu d'une famille bourgeoise s'est engagé volontairement et, plein d'idéal entend bien servir son pays. Mais la réalité est tout autre et ses illusions vont tomber les unes après les autres. Il sera également temoin de la rivalité sanglante qui oppose deux officiers qu'il admire. "J'ai eu l'idée de "Platoon" en décembre 1969 à mon retour du front. Mais personne ne voulut produire ce script "trop dur, trop noir et deprimant".